lisons la vision de WILLIAM MARRION BRANHAM sur ce sujet;
Seigneur, laisse-moi regarder de l’autre côté du rideau du temps.
Vous avez entendu chanter ça ici à l’église.
Alors, j’ai entendu une voix qui disait½: "Aimerais-tu voir juste au-delà du rideau?"
J’ai dit½: "Ça m’aiderait tellement." Alors j’ai regardé, et au bout d’un instant, je...d’un souffle, je me suis retrouvé dans un petit endroit en pente. J’ai regardé derrière moi, et j’étais là, étendu sur le lit. Je me suis dit½: "Ça, c’est bizarre."
Bon, je ne voudrais pas que vous répétiez ceci. Ce que je dis, c’est à mon église, ou à mes brebis, dont je suis le pasteur. Si j’étais dans mon corps ou hors de mon corps, ou si c’était un ravissement... Ce n’était pas comme aucune vision que j’ai déjà eue. Je pouvais regarder là-bas, et je pouvais regarder ici. Et quand je suis arrivé dans ce petit endroit, jamais je n’ai vu autant de gens, ils accouraient vers moi en criant½: "Oh, notre précieux frère." Je regardais, et des jeunes femmes, peut-être au début de la vingtaine (de dix-huit à vingt ans), me sautaient au cou et criaient½: "Notre précieux frère."
Et voilà des jeunes hommes qui venaient, dans toute la splendeur virile de la jeunesse, leurs yeux étincelants, semblables à des étoiles au plus sombre de la nuit, leurs dents blanches s'étreignaient en criant½: "Oh, notre précieux frère." Je me suis arrêté, et j’ai regardé½: j’étais jeune. Je me suis retourné pour regarder mon vieux corps étendu là, les mains derrière la tête. J’ai dit½: "Je ne comprends pas." Et ces jeunes femmes me sautaient au cou.
Or, je me rends bien compte que j’ai un auditoire mixte, et ce que je dis ici, c’est avec la délicatesse et la douceur de l’Esprit. Un homme ne peut pas serrer une femme dans ses bras sans qu’il y ait une sensation humaine. Mais là, il n’y en avait pas. Il n’y avait pas d’hier, pas de demain. Ils ne se fatiguaient pas. Ils étaient... Je n’avais jamais vu d’aussi jolies femmes de toute ma vie. Elles avaient les cheveux qui leur descendaient jusqu’à la ceinture, de longues jupes qui leur arrivaient à la cheville, et elles étaient là à me serrer dans leurs bras. Elles ne me serraient pas comme ma propre soeur qui est assise là, même, m’aurait serré. Elles ne m’embrassaient pas, et je ne les embrassais pas. C’était quelque chose pour lequel je--je n’ai pas le vocabulaire; je n’ai pas de mots pour l’exprimer. Perfection, le mot n’est pas à la hauteur. Superbe, le mot n’est pas à la hauteur, mais pas du tout. C’était quelque chose que je n’ai jamais... Il faut être là, c’est tout.
Je regardais dans cette direction-ci et dans cette direction-là, et ils venaient par milliers. Et j’ai dit½: "Je--je ne comprends pas." J’ai dit½: "Mais, elles..." Et voilà Hope qui venait; c’est ma première femme. Elle a accouru, et elle n’a pas du tout dit½: "Mon mari", elle a dit½: "Mon précieux frère." Elle m’a serré dans ses bras, et après, une autre femme qui m’avait serré dans ses bras était là, et Hope a serré cette femme-là dans ses bras. Et chacune, alors je me suis dit½: "Oh, il faut qu’il y ait quelque chose de différent ici; c’est impossible. Il y a quelque chose..." Je me suis dit½: "Oh, est-ce que je voudrais jamais retourner vers cette vieille carcasse?" Je regardais de tous les côtés, et je me disais½: "Qu’est-ce que c’est que ça?" Je regardais très attentivement, et je--j’ai dit½: "Je--je ne comprends vraiment pas." Mais Hope semblait être une...oh, une invitée d’honneur. Elle n’était pas différente des autres, seulement elle était comme une invitée d’honneur.
Et alors j’ai entendu une voix, celle qui m’avait parlé dans la chambre, elle disait½: "Ceci, c’est ce que tu as prêché, quand tu parlais du Saint-Esprit. Ceci, c’est l’amour parfait. Et on ne peut pas entrer ici si on ne l’a pas."
Je suis plus convaincu que je l’ai jamais été de toute ma vie½: il faut avoir l’amour parfait pour entrer là-bas. Il n’y avait pas de jalousie. Il n’y avait pas de fatigue. Il n’y avait pas de mort. La maladie ne pourrait jamais entrer là. La mortalité ne pourrait jamais vous faire vieillir; et eux, ils ne pouvaient pas pleurer. Il n’y avait que de la joie. "Oh, mon précieux frère."
Et ils m’ont pris et m’ont placé à un endroit très haut. Et je me suis dit½: "Je ne rêve pas. En me retournant, je peux voir mon corps étendu là sur le lit." Et ils m’ont placé là-haut, et j’ai dit½: "Oh, je ne devrais pas être assis ici."
Et voilà que des femmes et des hommes dans la fleur de leur jeunesse arrivaient des deux côtés, en criant. Et une femme qui était là s’est écriée½: "Oh, mon précieux frère. Oh, nous sommes tellement heureux de te voir ici."
J’ai dit½: "Je ne comprends pas."
Et alors, cette voix qui parlait au-dessus de moi, a dit½: "Tu sais, il est écrit dans la Bible que les prophètes étaient recueillis auprès des leurs."
Et j’ai dit½: "Oui, je me souviens d’avoir vu ça dans les Ecritures.
--½Mais, ceci, c’est le moment où tu seras recueilli auprès des tiens."
J’ai dit½: "Alors, ils seront réels, et je pourrai les toucher.
--½Oh oui."
J’ai dit½: "Mais je... Il y en a des millions. Il n’y a pas autant de Branham que ça."
Et cette voix a dit½: "Ce ne sont pas des Branham; ce sont tes convertis. Ce sont ceux que tu as conduits au Seigneur." Il a dit½: "Certaines de ces femmes que tu trouves si ravissantes avaient plus de quatre-vingt-dix ans quand tu les as conduites au Seigneur. Ce n’est pas étonnant qu’elles crient½: ‘Notre précieux frère.’"
Et tous se sont écriés ensemble, ils ont dit½: "Si tu n’avais pas accepté d’y aller, nous ne serions pas ici."
J’ai regardé autour de moi et j’ai pensé½: "Mais, je ne saisis pas." J’ai dit½: "Oh, où est Jésus? J’ai tellement envie de Le voir."
Ils ont dit½: "Il est juste un peu plus haut, là, dans cette direction." Ils ont dit½: "Un jour Il viendra à toi." Voyez? "Tu as été envoyé comme chef, alors Dieu viendra, et quand Il viendra, d’abord Il te jugera selon ce que tu leur as enseigné; s’ils entrent ou pas en dépendra. Nous entrerons selon ce que tu auras enseigné."
J’ai dit½: "Oh, que je suis content! Est-ce que Paul, est-ce qu’il devra être jugé comme ça? Est-ce que Pierre devra être jugé comme ça?
--½Oui."
J’ai dit½: "Alors, j’ai prêché chaque Parole qu’ils ont prêchée. Je n’en ai jamais dévié, ni d’un côté ni de l’autre. Ils baptisaient au Nom de Jésus-Christ, et j’ai fait de même. Ils enseignaient le baptême du Saint-Esprit, et j’ai fait de même. Tout ce qu’ils ont enseigné, moi aussi je l’ai enseigné."
Et ces gens-là se sont écriés, ils ont dit½: "Nous le savons, et nous savons qu’un jour nous retournerons sur terre avec toi." Ils ont dit½: "Jésus viendra, et tu seras jugé selon la Parole que tu nous as prêchée. Après, si tu es accepté à ce moment-là, et tu le seras," ils ont dit, "après, tu nous présenteras à Lui comme les trophées de ton ministère." Ils ont dit½: "Tu nous conduiras vers Lui et, tous ensemble, nous retournerons sur terre pour y vivre pour toujours."
J’ai dit½: "Est-ce que je dois retourner maintenant?
--½Oui, mais continue à courir vers le but."
Je regardais et je pouvais voir les gens, il y en avait à perte de vue, ils continuaient à venir, ils voulaient me serrer dans leurs bras, ils criaient½: "Notre précieux frère."
Au même moment, une voix a dit½: "Tous ceux que tu as aimés, et tous ceux qui t’ont aimé, Dieu te les a donnés ici." Je regardais, et voilà mon brave chien qui est arrivé, voilà mon cheval qui est arrivé, il a appuyé sa tête contre mon épaule, avec un doux hennissement. "Tous ceux que tu as aimés, et tous ceux qui t’ont aimé, Dieu te les a remis entre les mains, par ton ministère."
Alors j’ai senti que je quittais cet endroit magnifique. J’ai regardé autour de moi. J’ai dit½: "Chérie, es-tu réveillée?" Elle dormait toujours. J’ai pensé½: "O Dieu, oh, aide-moi, ô Dieu. Que je ne fasse jamais de compromis sur une seule Parole. Que je m’en tienne strictement à cette Parole, et que je La prêche. Peu m’importe ce qu’il peut advenir, ce que qui que ce soit peut faire, combien de Saül et de fils de Kis peuvent s’élever, combien de ceci, cela ou autre chose, Seigneur, que je coure vers cet endroit-là.
Toute peur de la mort... Je dis ceci avec ma Bible devant moi ce matin. J’ai un petit garçon de quatre ans, là, à élever. J’ai une fille de neuf ans et une adolescente, et je suis reconnaissant qu’elles aient choisi de suivre le Seigneur. Que Dieu me permette de vivre assez longtemps pour les élever en les instruisant selon Dieu. Et surtout, il y a les cris du monde entier qui semblent être dirigés vers moi. Des femmes et des hommes de quatre-vingt-dix ans, et tout½: "Si tu n’avais pas accepté d’y aller, nous n’aurions pas été ici." Que Dieu me permette de continuer le combat. Mais pour ce qui est de la mort, je n’ai plus... Ce serait une joie, ce serait un plaisir de quitter cette corruption et cette honte pour entrer là.
Si je pouvais former là-bas, à cent milliards de milles de haut, un bloc carré, et ça, ce serait l’amour parfait. Et à chaque pas dans cette direction-ci il y aurait un rétrécissement, jusqu’à ce que nous arrivions où nous sommes en ce moment. Ce ne serait alors qu’une simple ombre de corruption. Ce petit quelque chose qui nous fait pressentir, entrevoir qu’il y a quelque chose quelque part; nous ne savons pas ce que c’est. Oh, mes précieux amis, mes bien-aimés, mes chéris de l’Evangile, mes enfants que j’ai engendrés pour Dieu, écoutez-moi, votre pasteur. Vous... Si seulement il y avait un moyen pour moi de vous expliquer. Il n’y a pas de mots, je ne pourrais les trouver. Ils ne se trouvent nulle part. Mais juste au-delà du dernier souffle se trouve la chose la plus glorieuse que vous ayez jamais... Il n’y a pas moyen de l’expliquer. Il n’y a pas moyen, je ne peux vraiment pas. Mais quoi que vous fassiez, mon ami, mettez tout le reste de côté jusqu’à ce que vous ayez l’amour parfait. Arrivez-en au point d’aimer tout le monde, tous les ennemis, et tout le reste. Une seule visite là-bas a fait de moi un homme changé. Je ne pourrai jamais, jamais, jamais plus être le même Frère Branham que j’étais.
Que les avions soient secoués, qu’il y ait des éclairs, que les espions braquent une arme sur moi, quoi que ce soit, ça n’a aucune importance. Je vais continuer le combat, par la grâce de Dieu, car j’ai prêché l’Evangile à toutes les créatures et à toutes les personnes que je peux, en cherchant à les amener dans ce beau pays là-bas. L’entreprise peut sembler ardue; elle peut demander beaucoup d’efforts.
Je ne sais pas combien de temps encore. Nous ne savons pas. Côté physique, d’après mon examen de l’autre jour, on m’a dit½: "Il vous reste vingt-cinq bonnes années de vie rude. Vous êtes robuste." Ça m’a aidé. Mais, oh, ce n’était pas ça. Ce n’est pas ça. C’est quelque chose à l’intérieur, ici. Il faut que ce corps corruptible revête l’incorruptibilité, que ce corps mortel revête l’immortalité.
CONCLUSION
le chrétien qui meurt en JÉSUS va directement dans le paradis de DIEU; son corps physique se décompose et retourne à la poussière dans la tombe à savoir le SHÉOL.; il attendra la résurrection des morts pour l'enlèvement s'il a accepter le message de son temps; le message prêcher par le prophète WILLIAM MARRION BRANHAM ET RELAYER PAR LE HUITIÈME MESSAGER.
Dans le cas contraire il attendra le jugement dernier pour voir son sort finale.
EN CE QUI CONCERNE LE PAÏN celui qui n'a pas reconnu le Seigneur Jésus comme son Seigneur et sauveur personnel il brûlera en enfer jusqu'à ce que le trône blanc du jugement dernier soit dresser; puis il sera jugé comme coupable et il brûlera de nouveau avec le diable Satan pendant un temps infini jusqu'à ce qu'il disparaisse consumé comme la paille.
APOCALYPSE 20 V11 Puis je vis un grand trône blanc, et celui qui était assis dessus. La terre et le ciel s'enfuirent devant sa face, et il ne fut plus trouvé de place pour eux. 12 Et je vis les morts, les grands et les petits, qui se tenaient devant le trône. Des livres furent ouverts. Et un autre livre fut ouvert, celui qui est le livre de vie. Et les morts furent jugés selon leurs oeuvres, d'après ce qui était écrit dans ces livres. 13 La mer rendit les morts qui étaient en elle, la mort et le séjour des morts rendirent les morts qui étaient en eux; et chacun fut jugé selon ses oeuvres. 14 Et la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. C'est la seconde mort, l'étang de feu. 15 Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l'étang de feu.